État italien a décidé de se séparer de 151 de ses plus belles berlines. On y trouve de tout: Alfa 166 diesel de 124 000 kilomètres, BMW
Série 5 de près de 200 000 kilomètres, Lancia The-sis, Maserati Quattroporte, etc. L'Italie est en effet lourdement endettée: quelque 2 000 milliards d'euros de dette publique, selon les médias locaux. Mais à ce propos, nos confrères de La Repubblica ont sans doute vu juste: « L'argent ne viendra pas de la vente des voitures, mais des économies réalisées par le fait de ne plus avoir à les gérer », a écrit le quotidien dans son édition du 27 mars dernier. Ce type de « révolution » a déjà été réalisé en France. En 2013, 29 % des achats d'automobiles à destination des administrations ont été le fait d'un modèle électrique ou hybride