Les études tronquées du gouvernement au sujet des particules fines.
L'institut national du cancer a publié l'année dernière une fiche état des lieux sur les particules fines et leur rôle dans l'apparition des cancers. "Etat des connaissances en date du 1er juin 2013"
Cette étude de l'institut national du cancer remet en cause les déclarations de certains ministres du gouvernement ainsi que l'enquête qui a servit de base au classement des émissions des diesels comme cancérogènes.
La note est ainsi clairement rédigée:
"L'interprétation du niveau de risque des émissions des diesels vis à vis du cancer en population générale reste toutefois complexe, car les études qui ont permis d'objectiver le lien de causalité entre particules diesels et cancer chez l'homme portent exclusivement sur des expositions professionnelles et dans des conditions de travail qui ne devraient plus persister actuellement"...
Pour mémoire l'OMS avait classé les fumées de diesel cancérigène en juin 2012.
L'OMS avait basé sa décision sur une étude américaine de 1990 sur des mineurs travaillant en milieu confiné qui avaient contractés des cancers en respirant des fumées d'engins de travaux sans équipement de dépollution. Il faut entendre par "milieu confiné" au fond d'une mine !
Comment pouvons-nous immaginer que l'OMS se satisfasse d'une étude pareille sur les particules fines des diesels ? Personne ! Et pour autant nous n'avons pas entendu encore parlé de particule fine des moteurs essence.
PSA a prouvé à maintes reprises que son Filtre à particules FAP retient 99.9 % des particules.