Ethylomètre embarqué fausse bonne idée ?

D'après le secrétaire d'Etat aux transport M. Dominique Bussereau, le test d'alcoolémie via l'éthylomètre embarqué à bord du véhicule et  qui permet de le démarrer (sauf en cas d'ivresse), n'est pas une bonne idée.

De nos jours, la majorité des accidents de voiture sont dus à une conduite avec des facultés affaiblies. Alcool, drogue etc. En temps réel, il n'y a pas de
mécanisme efficace mis au point pour prévenir de tels accidents. Certain sous-traitant automobile se sont donc proposé de développer un système intégrée : un éthylomètre embarqué basé sur l'analyse acoustique pour résoudre efficacement ce problème dans un environnement en temps réel. Tout d’abord, la teneur en alcool dans le corps du conducteur est détectée au moyen d’un analyseur d’haleine placé dans le véhicule.

Un des principaux problèmes dans cette approche d'éthylomètre embarqué est que non seulement il identifie l'alcool éthylique, mais réagit également à des substances similaires à l'acétone, dont la structure moléculaire est similaire, ce qui conduit à de fausses lectures de la concentration d'alcool dans le sang. Par conséquent, afin de résoudre ce problème, l’alcootest est équipé d’un microphone pour effectuer une analyse acoustique de la reconnaissance vocale.

Le système réagit à la voix de la personne en fonction de la variation du niveau de fréquence.
Sur la base des statistiques du niveau d'alcoolémie et de la reconnaissance vocale, le système proposé s'avère être un modèle efficace.

C'est peut-être la complexité du système, et son manque de fiabilité potentiel qui bloque M le Ministre. A moins que ce soit le fait que les utilisateurs ne pouvant plus conduire sous l'emprise d'alcool à cause de cet éthylomètre embarqué, il y aura moins de pv et donc moins de revenu induit par les amendes récoltées.

Je sais que ce raisonnement est pervers et sadique... mais pouvons-nous croire en certains beaux discours éculés.